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Action de Greenpeace au Pont du Diable

Greenpeace Suisse a choisi la symbolique du pont «entre les individus et la nature» et illuminé mardi soir d’un arc-en-ciel le Pont du Diable (UR).

31 juil. 2020, 10:01
Des militants de Greenpeace ont projeté un arc-en-ciel et des messages près du Pont du Diable.

Des militants de Greenpeace ont projeté jeudi soir un arc-en-ciel et des messages près du Pont du Diable, dans le canton d’Uri, pour appeler à un changement de société. Il faut «bâtir des ponts entre les individus et avec la nature».

La crise du coronavirus est une occasion de «repenser notre société», a indiqué vendredi l’organisation écologiste Greenpeace. La crise climatique et le déclin de la biodiversité «ne peuvent être endigués qu’en surmontant les fossés de plus en plus profonds qui se creusent au sein de nos sociétés».

 

 

La pandémie «nous montre à quel point nous sommes vulnérables». Il y a des expériences et des enseignements à tirer de cette situation difficile afin «d’avancer en tant qu’individus et en tant que société», estime Greenpeace.

Manque de contacts sociaux

L’organisation écologiste a mené une enquête en ligne, non représentative, pour savoir comment le confinement a été vécu par la population. L’analyse des réponses des 6000 participants montre que les personnes interrogées ont surtout manqué de contacts sociaux avec leur famille et leurs amis.

Un grand nombre de participants ont même qualifié la situation de «positive». Ils ont perçu la nature de manière plus intense, ont eu davantage de temps pour leurs enfants ou ont simplement apprécié le calme suite à la diminution du trafic, selon Greenpeace.

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