Ils ont entre 14 et 16 ans, proviennent de Monthey, de Nendaz, de Sierre et de Viège, notamment. Cinq fois par semaine – quatre sur la glace, une en salle de force –, ils revêtent le même maillot, parlent la même langue et s’échangent le même puck. Certains n’hésitent pas à passer de longues minutes dans le bus et le train pour rejoindre Brigue, là où Valais-Wallis Future U17 s’entraîne avant d’effectuer le chemin inverse pour retrouver leur domicile. Parfois tard le soir. «Il m’arrive de quitter Nendaz à 7 h 20 le matin et de rentrer à 22 heures», raconte Nolan Fontannaz, le gardien. «Pour moi, c’est un peu plus simple puisque je suis au collège à Brigue», précise Erwann Immelé. «Par contre, je finis l’école à 17 h 35, deux fois par semaine; j’ai six heures de cours non-stop. Je dois courir pour arriver à l’entraînement. L’avantage, c’est...
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Hockey: Valais-Wallis Future, l’exemple d’un pont linguistique réussi
Les juniors U17 comportent autant de Romands que de Haut-Valaisans. Certains passent beaucoup de temps dans le train. Mais le groupe, soudé, joue de nouveau les premiers rôles.
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