Depuis que le canton de Berne a décidé de revenir en arrière et d’interdire les manifestations de plus de 1000 personnes, un vent de panique règne au sein des clubs. Les entités bernoises se sont émues, voire carrément indignées. En Valais, la crainte que le canton suive le mouvement est réelle. Frédéric Favre, conseiller d’Etat chargé du Département de la sécurité, des institutions et du sport, admet que la question sera débattue mercredi matin au sein du Conseil d’Etat et qu’elle devrait déboucher sur des décisions.
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Avez-vous été surpris par la décision du canton de Berne?
Elle était abrupte, c’est vrai. C’est le timing qui m’a surpris et le fait que l’interdiction de grandes manifestations ne fasse pas partie d’un paquet de mesures. De plus, cette décision est intervenue juste après le constat de la Confédération, laquelle a...