Cela a pris un peu de temps pour trouver une fenêtre «entretien». Avec force mails, propositions, contre-propositions de dates et d’horaires, La Liberté est parvenue à ses fins: entrer dans le saint des saints, le siège de la FIFA à Zurich, pour rencontrer son président Gianni Infantino. Le Haut-Valaisan de 50 ans a accepté, derrière un café et durant près d’une heure et demie, de répondre à «évidemment toutes les questions que vous voulez» (sic), même les plus dérangeantes. Un Gianni Infantino qui promet qu’il s’attache, depuis son élection du 26 février 2016, à redonner à la FIFA son statut d’organisation crédible, digne de confiance, moderne, professionnelle et responsable.
Pourquoi avoir accepté cet entretien?
Je me suis rendu compte que nous n’avons pas réussi à bien communiquer en Suisse, et ça, c’est de ma responsabilité en qualité de président. Quand je dis communiquer, c’est montrer ce que nous avons fait,...