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Coupe du Monde 2018: la zone «Asie» a encore un temps de retard sur le football européen

La déroute de l’Arabie saoudite en match d’ouverture face à la Russie (5-0) questionne sur le niveau du football dans la zone de qualifications «Asie». Christian Zermatten et Alain Geiger, qui ont tous deux entraîné dans cette région du monde, analysent cet écart.

19 juin 2018, 17:30
Juan Antonio Pizzi est le douzième entraîneur de la sélection saoudienne sur les douze dernières années.

L’Arabie saoudite vit un début de Coupe du monde entre l’eau et le feu. Le feu s’échappant d’un réacteur d’avion qui a fait une belle frayeur à la sélection saoudienne lundi et l’eau qui s’est infiltrée dans sa défense face à la Russie lors du match d’ouverture (5-0). Une «manita» en bonne et due forme, face à une «Sbornaya» pourtant annoncée par les médias russes comme étant «la plus faible sélection de l’histoire du pays».

A l’heure d’affronter l’Uruguay et sa ligne d’attaque Cavani - Suarez, la défense des Faucons doit sans doute déjà avoir les genoux qui tremblent. «Sur le match face à la Russie on a pu remarquer un gros problème tactique, souligne Christian Zermatten, qui a fréquenté le football de la zone «Asie» lorsqu’il entraînait en Malaisie à la fin des années 1990. Je ne pense pas que les joueurs soient réellement faibles, c’était simplement le néant...

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