«Un très beau parcours.» Sébastien Reichenbach, à l’instar des grimpeurs et des leaders qui ont opté pour le Giro, n’a pas été déçu en découvrant, tardivement, le parcours de l’édition 2021. Elle proposera huit arrivées en altitude, quelques cols de légende – le Monte Zoncolan, une étape sur le tracé des Strade Bianche, le Passo Pordoi, le toit du Giro à 2239 mètres et le Passo Giau – et une incursion en Suisse, au Tessin.
Très peu de contre-la-montre
Pour ne rien gâcher, les grimpeurs n’auront que 38,4 km d’effort solitaire à se coltiner. C’est peu, sinon presque insignifiant en regard des difficultés qui attendent le peloton durant trois semaines. «Comme très souvent, au Giro, c’est un parcours très montagneux qui va bien nous convenir», apprécie le grimpeur de Groupama-FDJ qui épaulera Thibaut Pinot. «Pour des coureurs comme moi, c’est un profil très réjouissant, très motivant aussi. Entre le départ...