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Un derby comme un jeu d’échecs

Peter Zeidler et Fabio Celestini sont très attachés à leur dispositif tactique respectif. Si le premier ne déroge que rarement à sa règle, le second a dû revoir son système. Analyse à deux jours du dernier derby romand.

20 avr. 2017, 21:31 / Màj. le 21 avr. 2017 à 00:01
Niederhasli, le 30 mars 2015

Portrait de Stéphane Grichting qui termine sa carrière au GC.

Sacha Bittel/Le Nouvelliste

FC SION

«Zeidler change souvent ses hommes, peu sa stratégie»

1. Tactique
Débarqué fin août à Tourbillon, Peter Zeidler a chamboulé le dispositif tactique de l’équipe sédunoise. Exit le 4-2-3-1 cher à Didier Tholot, l’Allemand installe un 4-3-3 offensif dont les effets bénéfiques se font rapidement sentir puisque le club quitte la lanterne rouge pour monter sur le podium. «Zeidler a pu compter sur des joueurs revanchards qui se sont très bien installés dans son nouvel équilibre qui demande un haut pressing pour récupérer rapidement le ballon afin de se projeter vers l’avant», analyse l’ancien international Stéphane Grichting. Toutefois avec le temps, ce 4-3-3, qu’il a toujours utilisé à l’exception de la première mi-temps du match contre Vaduz samedi dernier, n’a plus le même rendement. «Les blessures, les coups de moins bien et un effectif amoindri en sont la raison. D’autant plus que cette tactique demande beaucoup d’effort et Zeidler...

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