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Covid-19: ça dépend des cantons, où le joueur était assis, avec qui il s’est entretenu dans le bus…

Entre les clubs en quarantaine, les joueurs positifs, les équipes qui cumulent des joueurs testés au Covid-19 et en quarantaine, entre ceux qui sont au repos et ceux qui peuvent continuer à jouer, ça devient quand même difficile à suivre. En Suisse, fédéralisme oblige, les clubs ne sont pas tous égaux devant le virus. La chronique de Christophe Spahr, responsable des sports au «Nouvelliste».

19 oct. 2020, 19:00
Christophe Spahr, responsable des sports au "Nouvelliste".

Covid-19: ça devient très compliqué à suivre, d’un club à l’autre

De toute évidence, en sport, tous les clubs ne sont pas égaux devant le Covid-19. Ainsi, il y a ceux qui ont un ou plusieurs cas positifs et qui sont en quarantaine, à l’instar de Fribourg Gottéron, Lugano (hockey), Bâle (football), Bâle et Lugano (basket). Et il y a ceux – Sion, Servette et Young Boys en foot, Sierre en hockey – qui ont aussi déclaré un ou plusieurs cas positifs mais qui, eux, ont été autorisés à jouer. Il y a les fédérations qui obligent les clubs à jouer tant qu’ils peuvent aligner un minimum de joueurs, les cantons qui imposent une quarantaine quasi systématique, d’autres qui sont plus laxistes. Il y a les joueurs qui ont été en contact direct avec le(s) joueur(s) déclaré(s) positif(s), d’autres qui l’ont côtoyé dans un vestiaire ou dans un bus, mais...

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