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La fin de l'innocence

Sixième volet de la saga de J.K.Rowling, «Harry Potter et le Prince de sang-mêlé» fait plonger l'univers de Poudlard dans la noirceur des ténèbres.

14 juil. 2009, 05:01

En Grande-Bretagne, David Yates est un cinéaste célèbre. Célèbre surtout grâce à ses séries télévisées, «Sex traffic» et «State of Play-Jeux de pouvoir» (récemment adapté au grand écran par Kevin McDonald avec Ben Affleck et Russell Crowe). De la série hyper-réaliste, socio-politique, quasi-documentaire, au long métrage de fiction fantastique, pour fondus de sorcellerie et d'effets spéciaux, la métamorphose de David Yates en a étonné plus d'un... Un choix assumé et confirmé puisque, après avoir réalisé «Harry Potter et l'Ordre de Phénix», le réalisateur britannique a accepté de tourner le sixième volet de la saga de J.K. Rowling: «Harry Potter et le Prince de sang-mêlé».

Fidèle comme toujours à l'esprit des romans de J.K. Rowling, ce nouvel opus agit comme le plus puissant des charmes, selon une recette décidément parfaite, déjà testée et éprouvée à cinq reprises...

Eté orageux à Londres. La capitale subit une attaque des partisans du mage noir...

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