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Denis Rabaglia poursuit un parcours exceptionnel

Le réalisateur valaisan ajoute avec "Un ennemi qui te veut du bien" un nouveau film à une carrière qui a débuté en 1987 déjà. Regard rétrospectif sur son œuvre.

02 août 2018, 14:40
Denis Rabaglia a une impressionnante filmographie à son actif.

Avec «Un nemico che ti vuole bene» ( "Un ennemi qui te veut du bien"), Denis Rabaglia n’en est pas à son coup d’essai. Son parcours débute en 1987, année où il propose «Le tueur de midi», un court-métrage surprenant, un film dans le film, une mise en abyme attachante et dérangeante à la fois. En 1989, le réalisateur délivre «Video ergo sum», une nouvelle tentative d’aborder le cinéma à travers les moyens de la vidéo de surveillance.

Grossesse nerveuse comme point de repère

S’ensuivra un troisième court-métrage, «Michu» en 1992, puis, l’année suivante, il s’attaque à son premier long-métrage, «Grossesse nerveuse», une comédie finement ciselée qui prouve par l’acte que Denis Rabaglia a trouvé ses marques, ses repères et, surtout, son style.
En 2000, le réalisateur présente «Azzurro», un conte tragi-comique dans lequel il aborde avec sensibilité la condition souvent contradictoire des secondos qui ont leurs racines en Suisse mais qui, d’un autre côté, s’y sentent étrangers. «Pas de panique», téléfilm sorti en 2006, explore par le menu les phobies de l’être humain avec les armes de l’humour, sans jugement aucun mais avec empathie et générosité.

«Marcello Marcello» (2008), est une comédie jubilatoire qui raconte les étranges traditions qui perdurent sur la pittoresque île d’Amatrello. Le combat de Denis Rabaglia contre les côtés tragiques de la vie passe par la comédie et l’humour, un humour empreint de poésie et de respect.

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