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Même Biesla ne construit pas Rome en un jour, par Vincent Fragnière

18 sept. 2017, 17:28
/ Màj. le 18 sept. 2017 à 19:00
Vincent Fragnière, rédacteur en chef du Nouvelliste.

Je l’ai écrit dans ma chronique de vendredi dernier: le FC Sion nouvelle version est meilleur que celui de l’an dernier, mais a besoin de sérénité pour grandir. Une élimination en Coupe de Suisse face à une équipe de 1re ligue et cette sérénité n’existe plus pour un Paolo Tramezzani devenu, selon son président, «une mariée qui ne sait même pas faire la cuisine».

Pourtant, Christian Constantin devrait se poser une autre question: quel autre club dans un championnat européen a changé durant la pause estivale neuf de ses onze titulaires? Il a dû le faire à la fois pour réaliser des plus-values financières, mais aussi parce qu’une politique sportive à court terme qui utilise jusqu’à trois entraîneurs par saison épuise un contingent.

Paolo Tramezzani a été un excellent consultant pour les médias italiens pendant neuf ans. Comme entraîneur, personne ne peut vraiment le dire, puisqu’il n’a été que l’assistant...

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