Orkhan Safarov, médaillé d’argent lors des récents Mondiaux élites de judo. Ce nom ne veut rien dire pour le grand public. Pour lui, il signifie pourtant beaucoup. Simon Maitin dit s’inspirer du judoka azerbaïdjanais. «J’essaie de proposer le même judo, la même technique», lance celui qui vient de célébrer ses 14 ans.
pas de miracles en judo
Comme son modèle de l’Est, le Valaisan de Saint-Gingolph rayonne dans sa catégorie. Comme Safarov, ça ne date pas d’hier. «On peut dire qu’il domine ses catégories de poids au niveau national depuis 2014», explique son entraîneuse Diana Chabron, également présidente de l’école de judo de Collombey-Muraz. Ce jour-là, Simon Maitin s’apprête à vivre le quatrième entraînement de la semaine. Parfois, cinq séances sont même au programme. «Si c’est trop? Tout dépend du niveau que vous souhaitez atteindre. En judo, il n’y a pas de miracles. Il y a surtout plusieurs dimensions...