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Quand la présidence s’accorde au féminin

A Evolène et à Hérémence, la présidence revient pour la première fois à des femmes. Rencontre avec ces dernières, déterminées et impatientes d’entrer en fonction.

20 oct. 2016, 23:49
/ Màj. le 21 oct. 2016 à 00:01
Hérémance le, 19 oct.2016 : Election communale 2016. De gauche a droite : Virginie Gaspoz Chevrier et Karine Sierro-Massery  . © Sacha Bittel/Le Nouvelliste

Deux femmes, un même destin. En début de semaine, Karine Sierro-Masserey et Virginie Gaspoz Chevrier devenaient les premières femmes présidentes des communes d’Hérémence et d’Evolène. Réunies par «Le Nouvelliste», les deux femmes se félicitent en toute modestie. Présidente. Le mot les fait encore sourire. Un sourire à mi-chemin entre la gêne et la fierté. Leur élection est certes historique, il n’y a toutefois pas de quoi en rajouter. A Evolène par exemple, les femmes sont aujourd’hui préfète ou garde-chasse, tous les clichés sont dépassés. Et là comme à Hérémence, les deux présidentes comptent bien prendre leurs responsabilités.

Appris par WhatsApp

«Dimanche, j’ai appris mon élection par WhatsApp!», avoue Virginie, qui était de sortie sur les hauts d’Evolène. L’anecdote fait rire Karine, presque envieuse. A Hérémence, la tradition veut que les résultats soient annoncés par criée publique. Invitée par la communauté au repas des jubilaires de mariage, celle qui fêtait...

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