Une centaine de migrants, parmi les derniers présents dans la «jungle» démantelée de Calais, ont embarqué hier pour des centres d’accueil ailleurs en France. Les mineurs parmi eux avaient auparavant été l’objet d’échanges aigres-doux entre Londres et Paris. Laissés pour compte du démantèlement de la «jungle», une centaine d’adolescents et de jeunes hommes ont dormi dans des abris de fortune aux abords du bidonville du nord de la France. Parmi eux, se trouvaient des dizaines de jeunes qui se disent mineurs. Faute d’avoir été enregistrés au cours des trois jours de l’opération, ils n’ont pas été admis au centre d’accueil provisoire (CAP) proposant 1500 places pour les enfants, à proximité de la «jungle». A la mi-journée, leur cas semblait en passe de se régler. Une cinquantaine d’entre eux, dont beaucoup de Soudanais, a embarqué à bord d’un car à destination d’un centre dédié aux mineurs. Jeudi soir, la Grande-Bretagne et...
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