David Crettenand, vous êtes la ValaiStar de février pour avoir réussi à industrialiser et à commercialiser un procédé qui rend les jeans plus écologiques plus de dix ans après une solution unique au monde trouvée en laboratoire. C’est la victoire de la persévérance?
Ou de la patience. (Rires.) Jamais je n’avais pensé qu’il serait aussi difficile d’entrer dans ce monde industriel alors que vous proposez une solution novatrice et rentable. Mais les soixante actionnaires de la société Redelec peuvent être encore plus fiers que moi d’être la ValaiStar de février.
A lire aussi: Une technologie valaisanne infiltre le marché du jeans
Pourquoi?
Parce qu’ils y ont cru dès le début en injectant des sommes entre 10 000 et 50 000 francs, alors que d’autres me disaient que nous n’avions aucune chance de réussir dans ce domaine. Nous avons pu lever près de 1 million de francs, ce qui est beaucoup....