Derrière la vitre, un regard furtif. Deux billes s'illuminent, rapidement suivies par d'autres perles lumineuses. On s'approche et on découvre une colonie de matous surpris en pleine sieste. Etendus sur une étagère, dissimulés dans un arbre à chat, lovés dans un lavabo, les félins sont partout. On se réjouit de pouvoir les caresser et déclencher un concert de ronronnements. Mais pas tout de suite...
Avant la visite des lieux, il faut passer par la case des nouvelles qui «hérissent le poil». Oui, parce que comme son nom l'indique, le refuge d'Ardon héberge en majorité des pensionnaires à quatre...