Vera Weber, on dit que cette loi est «une mauvaise solution à un bon problème» car trop extrême. Vous partagez ce constat?
J’entends depuis le début que cette initiative est inapplicable, mal faite, qu’elle va au-delà du but. Mais c’est ce qu’on dit de toutes les initiatives. Cette loi a été faite comme un bon compromis suisse, et le fait est qu’elle a eu un impact clair. Elle a mis un frein effectif à la construction de nouvelles résidences secondaires et nous a permis de sauver du sol et du paysage de ce pays. En ce sens, le but est atteint.
Mais avec cinq...