Une soixantaine de sollicitations en douze mois! La responsable de l’organe de l’ombudsman n’a pas chômé pour sa première année d’activités.
«Les gens se sont adressés à moi avant tout pour des demandes de renseignements, mais aussi pour émettre quelques plaintes», détaille Ludivine Détienne. La démonstration, selon elle, que cette nouvelle structure – créée début 2018 pour offrir aux patients valaisans en conflit avec notre système de santé une possibilité supplémentaire de faire entendre leurs voix – répond à un véritable besoin. «L’ombudsman s’inscrit en complément des autres acteurs déjà en place comme l’Espace écoute de l’Hôpital du Valais ou des médiateurs des associations professionnelles. Pas en concurrence!»
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Au gré des cas, Ludivine Détienne a plongé...