Il n'est pas si courant de croiser un violoniste dans le monde pourtant bigarré du jazz. On connaît bien sûr Stéphane Grappelli, figure incontournable du jazz manouche, disparu en 1997. Dans un registre plus contemporain, le zurichois Tobias Preisig est en train de se dessiner une carrière remarquable où l'exigeance côtoie l'excellence.
A dix-sept ans, il fut le premier étudiant violoniste reçu à la Swiss Jazz School de Berne, tout comme à la New School de New York.
Voyage initiatique
Depuis, le musicien enchaîne les tournées et récompenses en Europe comme aux Etats-Unis. Accompagné aujour...