En tout cas pas le fait de molester régulièrement ses propres enfants, au nom d'une éducation «pure et dure». Tel est le verdict que vient de rendre le Tribunal du district de Sion qui a décidé de reconnaître coupable de voies de fait un père de famille violent. Jugé à la fin septembre dans la capitale (voir «Le Nouvelliste» du 1er octobre dernier), D. se voit ainsi condamné à une amende de 400 francs. En cas de non-paiement fautif de l'amende, la peine privative de liberté de substitution a été fixée à quatre jours. On ignore encore si son avocat, Me Stéphane Riand, va recourir contre ...
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