Il y a un an, on vous désignait comme le futur homme fort du gouvernement. L’êtes-vous aujourd’hui?
Je laisse le soin aux historiens et aux journalistes de le dire ou de l’infirmer. Je m’engage au sein du gouvernement et, particulièrement, dans mon département. Nous travaillons en équipe. Chacun d’entre nous exerce son leadership sur ses dossiers et peut avoir un œil sur ceux des autres. Le peuple valaisan a voulu un gouvernement fort et apaisé. Cela fonctionne très bien.
Qu’est-ce qui vous a le plus ...