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Transferts sans frontières

Du Brésil à la Chine, l'aire de recrutement des éléments offensifs de l'équipe valaisanne témoigne de la mondialisation du football. Mode d'emploi avec Christian Constantin.

18 août 2012, 00:01
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Brésil, Ecosse, Chine, Hongrie ou Tunisie. La liste ne résume pas les pays visités par Christian Constantin lors des vacances qui l'ont privé des matches contre Lucerne et Bâle. Elle dessine la carte des championnats dans lesquels le président du FC Sion a recruté ses éléments offensifs depuis deux saisons. Un marché totalement hétérogène qui s'étale sur toute la planète.

Le souvenir de Sonny Anderson

Vingt ans après des achats groupés lors de son arrivée à la présidence du club, il avait engagé quatre Brésiliens, Tulio, Assis, Marcio et Luis Carlos, la philosophie s'adapte à la mondialisation du ballon rond. "En 1992, trois joueurs étrangers étaient autorisés sur le terrain. Quand l'un d'entre eux débarquait seul dans un club, il se retrouvait face à une majorité d'éléments nationaux qui l'agréaient ou qui le rejetaient. Concentrer le recrutement dans un pays donnait plus de force aux nouveaux venus pour affronter cette...

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