Uli Stielike retrouvre son calme. Les sollicitations de la presse diminuent après quelques jours d'embouteillage à la Porte d'Octodure, le siège du club. Les retrouvailles avec Neuchâtel Xamax ce soir, le club dans lequel il a terminé sa carrière en 1988 après deux titres de champion, et la semonce présidentielle, adressée publiquement en début de semaine dernière à l'attention de tous les membres du club qualifiés généreusement de touristes, motivent cet intérêt. Stielike ne mélange pas les genres. Il dissocie les deux événements. Son destin de joueur s'est terminé à La Maladière. Celui...
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