L’année passée, au moment du bilan de l’édition, Michael Drieberg n’affichait pas le même sourire. Le mondial, sans doute, mais aussi un concept de programmation hétéroclite qui avait peiné à réunir les générations avaient plombé l’exercice. Si bien que le boss de Live Music Production s’était sérieusement demandé si l’aventure Sion sous les étoiles devait être poursuivie.
Cette année, au terme de quatre jours de musique clairement balisés entre pop urbaine, chanson française, rock et variété, la satisfaction est de mise. «On renoue avec les chiff...