Qui l'aurait cru? Alors que l'on s'acheminait vers des élections relativement tranquilles, avec comme seuls enjeux une possible entrée de l'UDC à l'exécutif et un éventuel transfert de siège entre le PDC et le PLR, finalement l'éclatement de l'Alliance de gauche (AdG) a déclenché une bataille générale. Une bataille dans laquelle la défunte AdG et les Verts se jettent en ordre dispersé. En face, les autres partis n'en demandaient pas tant. Revue d'effectifs à une semaine du début des hostilités.
PDC: jouer le maintien
Le parti majoritaire de la capitale est serein. Serein parce que sur ses huit conseillers sortants, sept se représentent. Serein parce que le démissionnaire Alfred Squaratti a été remplacé "poste pour poste" par Philippe Antonioli, ingénieur d'origine haut-valaisanne. Serein parce que le parti orange a encore ramené dans ses filets le futur ex-président de Salins et deux personnalités populaires de la cité sédunoise. Serein enfin parce...