L’herbe est haute. L’herbe est folle. Elle nous arrive aux genoux. Et même au centre de Pont-de-la Morge, on se croirait dans le sud à cause du murmure des cigales et des grillons. «Je crois que les voisins pensent que je n’ai pas le courage de tondre». Andreas Sanchez s’amuse des redondantes remarques de tous ceux qui découvrent sa pelouse.
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Le désordre naturel plutôt que la mode anglaise
Son pré, en fait. Cet entomologiste qui travaille pour Info fauna – le Centre suisse...