Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

En pente douce, de l'herbe aux grues et du pré à la ville

"Le pré ou les poèmes skilistiks", création de la compagnie Corsaire Sanglot, à voir de mardi à jeudi au Crochetan.

07 nov. 2011, 00:01
data_art_500505
"J'ai appris à skier dans les prés / On tapait la piste en remontant la pente en escalier / J'ai appris à skier à la montée / la pente s'appelait le Revers / J'ai appris à skier au Revers". Ces quelques lignes signées Pierre-Isaïe Duc plantent en quelques traits le décor de la dernière création de la compagnie Corsaire Sanglot, "Le pré ou les poèmes skilistiks", présentée dès demain soir au Crochetan de Monthey.

Au commencement était le trait

En sept tableaux, sept poèmes, sept cartes postales, la pièce raconte par l'absurde et le décalage, la transformation d'un endroit chargé de souvenirs et de symboles. De l'herbe aux grues, du pré à la ville. "Aux puces de Plainpalais, je suis tombé un jour sur "La ronde des marteaux piqueurs", une série de sept dessins de Jürg Müller montrant la métamorphose progressive d'un endroit ", raconte Pierre-Isaïe Duc. "Je me plais...
Votre publicité ici avec IMPACT_medias