C'est peut-être ça, la beauté du sport. Et sa glorieuse incertitude. Là où l'on attendait un match ouvert, un premier acte à ce point équilibré qu'il était presque inconvenu d'oser un pronostic, le public a eu droit à un monologue.
Pire, une claque administrée par «l'armée rouge» à son challenger que le plus fanatique des supporters bas-valaisan n'aurait jamais eu l'audace d'envisager.
Un exemple? Il a fallu attendre dix-sept minutes pour que Florian Bruegger, gardien réduit au rô...