Michel Ducrot est un avocat réputé en Valais. Il y a six ans, il a créé, en pleine polémique autour du RSV, l’Association de défense des patients domiciliés en Valais (ADPVal). En opposition à la politique hospitalière de l’époque. Aujourd’hui, l’association est devenue un interlocuteur permanent des dirigeants de l’hôpital, traite une dizaine de cas lourds par année, mais reste encore persona non grata auprès du gouvernement, selon son président qui a trouvé un successeur et un nouveau comité (voir encadré).
Michel Ducrot, la création de l’ADPVal a été faite en 2011 en période de crise. Aujourd’hui, pouvez-vous dire que ce n’est plus le cas?
Aujourd’hui, notre association est reconnue par l’Hôpital du Valais. Nous avons eu une première séance avec le nouveau président Dominique Arlettaz et une deuxième est agendée dans dix jours. Tout s’est normalisé. Il n’y a qu’auprès du Conseil d’Etat que nous sommes encore persona non...