Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

«L’humanité régresse dans la protection des enfants»

Constat La Société internationale pour la prévention des abus et de la maltraitance envers les enfants tenait un sommet à Sion. Son président, le Libanais Bernard Gerbaka, nous a accordé une entrevue.

09 mai 2016, 23:17
/ Màj. le 10 mai 2016 à 00:01
Bernard Gerbaka, président de la Société internationale pour la prévention des abus et de la maltraitance envers les enfants (ISPCAN). Sion, le 7 mai 2016

Après Chicago il y a dix ans, c’est Sion qui a accueilli, le week-end dernier, le sommet de la Société internationale pour la prévention des abus et de la maltraitance envers les enfants (ISPCAN).

Ce rendez-vous a pu avoir lieu en Valais grâce à la présence sur notre territoire du Centre interfacultaire en droits de l’enfant de l’Université de Genève et l’Institut international pour les droits de l’enfant, à Sion, fondé par Jean Zermatten.

C’est à l’IUKB, d’ailleurs, que nous avons rencontré le président de l’ISPCAN (voir encadré), Bernard Gerbaka. Ce pédiatre libanais dresse un état des lieux inquiétant. Pour lui, «l’humanité régresse dans la protection des enfants».

Bernard Gerbaka, combien d’enfants sont concernés par la problématique de la maltraitance à travers le monde?

Un milliard, selon les chiffres de l’Organisation mondiale de la santé. Il n’y a pas une zone dans le monde où il n’y a pas de...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias