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Le marché de la mort en Valais

Chez nous, la crémation est choisie trois fois sur quatre, faisant des Suisses les plus fervents adeptes de cette solution en Europe, juste derrière les Tchèques. Et le Valais suit le mouvement.

31 oct. 2008, 05:04

«Chaque année le canton enregistre environ 2300 décès», indique Olivier Pagliotti, président de l'Association valaisanne des entreprises de services funèbres. Malgré cette stabilité du «marché» de la mort, le nombre de professionnels de la branche est en hausse. «J'ai reçu une demande d'adhésion pour un vingt-deuxième membre», note le Martignerain, associé avec ses deux frères dans l'entreprise paternelle. Principale évolution dans ce marché assez ferm&ea...