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Le mal est profond

Des erreurs individuelles et collectives condamnent l'équipe valaisanne qui se retrouve à un point d'une place de barragiste.

25 févr. 2008, 05:01

DE BERNE

Germano Vailaiti n'y peut rien. David Gonzalez ou Essam El-Hadary non plus. Le gardien numéro un destitué, celui de la sélection suisse des moins de 21 ans ou l'international égyptien ne seront pas les sauveurs du FC Sion dans son état actuel. L'équipe valaisanne concède une troisième défaite en quatre matches. Elle s'incline au stade de Suisse contre Young Boys (1-3) et elle se retrouve avec un avantage minimal sur Saint-Gall qui occupe aujourd'hui le fauteuil de barragiste. «Je ne parviens pas à cerner nos faiblesses. Quelles sont-elles?» s'interroge Goran Obradovic. «N'avons-nous pas de chance? Nos qualités sont-elles insuffisantes? Avons-nous des problèmes de concentration? L'unique certitude est que le FC Sion est le Père Noël du football suisse.»

Le visiteur est généreux avec les Bernois. Une erreur individuelle de Vilmos Vanczak entraîne l'égalisation de Mario Raimondi (34e), elle relance un contradicteur privé de solution. Une organisation collective déficiente...

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