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Le dernier mot revient toujours à l'économie

02 mars 2012, 00:01
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journaliste sportif

La possible disparition, à quelques semaines d'intervalle, d'un deuxième club romand parmi les plus titrés du pays ne doit rien au hasard du calendrier. Ce n'est pas davantage un malheureux concours de circonstances. Les similitudes entre NE Xamax et Servette sont trop nombreuses, les dégâts collatéraux trop importants pour que le hasard ait quelque chose à voir là-dedans. Non, si ces deux institutions sombrent en même temps, c'est avant tout la preuve que l'économie romande ne peut pas supporter quatre clubs au sommet de l'élite. Alors qu'ils ne sont que dix à militer dans cette catégorie de jeu. Le déséquilibre était patent.

Avant que Majid Pishyar et Bulat Chagaev ne soient intronisés à la tête de ces deux clubs, d'autres "mécènes" étrangers - Marc Roger, Waldemar Kita, Gilbert Kadji - avaient vu grand, évoquant avant eux les plus hauts sommets de l'Europe. Pour autant, méritent-ils d'être désignés comme...

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