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«La situation est sous contrôle, mais...»

De nouvelles formes de violence créent un sentiment d'insécurité, en Valais aussi. Elles sont souvent le fait de jeunes et d'étrangers. Le PLR cherche des solutions. Débat hier soir à Martigny.

22 janv. 2010, 05:01

«Il y a des groupuscules de jeunes qui créent le sentiment d'insécurité auprès de la population. Ce sont des jeunes qui n'existent que par la violence, qui souffrent d'un déficit sur le plan éducatif et affectif», a lancé Christian Varone, le commandant de la police cantonale. Il s'exprimait ainsi à l'occasion de la soirée, très suivie, consacrée à la sécurité, mise en place hier par le PLR à Martigny.

Pas pire à Martigny

Le choix du lieu de l'assemblée n'était pas tout à fait dû au hasard. Si la presse a mis le doigt sur certains événements violents survenus à Martigny, la situation n'y est pas pire qu'ailleurs, si l'on en croit le président de la ville. «L'insécurité n'a pas augmenté à Martigny, je vous assure. Les citoyens peuvent toujours se promener dans la cité, de jour comme de nuit», a déclaré Marc-Henri Favre. Pour lui, la cité du coude...

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