La conjoncture économique ne semble pas favorable et pourtant vous agrandissez. Que se passe-t-il chez Galartis?
Il n'y a rien de sérieux en Suisse romande en matière de ventes aux enchères. Tout va sur Zurich, à part les ventes de montres et de bijoux qui se font encore à Genève. Nous pensons avoir l'opportunité de développer des ventes de haute tenue. Nous nous donnons six ou huit mois pour atteindre cet objectif, avec une vente de haut niveau, en triant les objets.
Quel sera votre rythme?
Nous nous voyons comme un petit Drouot, avec un programme d'une douzaine de ventes annuelles sur tou...