Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

La langue comme obstacle majeur

Deux fois par mois, le «Walliser Bote» analyse l’actualité haut-valaisanne dans nos colonnes. Aujourd’hui, c’est Werner Koder, membre de la rédaction en chef, qui se livre à l'exercice.

04 sept. 2019, 05:30
Werner Koder, membre de la rédaction en chef du «Walliser Bote».

Le président du PLR René Constantin a semé un vent d’incompréhension auprès de ses collègues de parti du Haut, peu avant son dernier rendez-vous des prochaines élections fédérales, lorsqu’il a réussi à faire sortir de son chapeau une liste PLR du Haut-Valais. Des critiques sont nées dans ses propres rangs. Jonas Egli, président du PLR du Haut, démissionnaire il y a un an, s’est plaint que les candidats de cette liste n’avaient pas été nommés par le parti. Constantin s’est défendu en disant que le PLR haut-valaisan n’était qu’un sous-groupe du PLR valaisan. Et qu’une nomination officielle n’était donc pas nécessaire. Cette dispute met en évidence le dilemme dans lequel se trouve le PLR en Valais depuis des décennies. Alors que le courant libéral-radical jouit d’un grand soutien dans le Bas-Valais, tel n’est pas forcément le cas dans le Haut. Bien sûr qu’on avait autrefois César Jäger comme président du...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias