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La deuxième bataille d’Angleterre

Les leaders des Vingt-Huit ont commencé à débattre, hier soir, de la question du Brexit. David Cameron donne de la voix, mais ses partenaires aussi.

19 févr. 2016, 00:09
British Prime Minister David Cameron, right, gestures as he speaks with European Commission President Jean-Claude Juncker during a round table meeting at an EU summit in Brussels on Thursday, Feb. 18, 2016. European Union leaders are holding a summit in Brussels on Thursday and Friday to hammer out a deal designed to keep Britain in the 28-nation bloc. (AP Photo/Geert Vanden Wijngaert) Belgium EU Summit

«Cela va être dur. Je vais me battre pour le Royaume-Uni. Je n’accepterai pas un accord qui ne répond pas à nos besoins.» Le premier ministre britannique, David Cameron, a planté le décor, hier après-midi à Bruxelles, au premier jour d’un sommet européen: démêler l’écheveau du Brexit ne sera pas une partie de plaisir, pour les chefs d’Etat ou de gouvernement des Vingt-Huit.

Le président de la Commis- sion européenne, Jean-Claude Juncker, s’est toutefois déclaré «plutôt confiant» qu’ils trouveront un compromis, aujourd’hui, ce qui permettrait à David Cameron de faire campagne pour le maintien de son pays dans l’UE, un référendum va être organisé, peut-être le 23 juin.

Tout le monde devra mettre de l’eau dans son vin

«Un accord est possible, mais seulement si certaines conditions sont réunies», a déclaré le président français, François Hollande. «Je souhaite que le Royaume-Uni reste dans l’Union. Mais surtout que l’Europe puisse...

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