Deux mois que ses crampons le narguent dans son domicile haut-valaisan: pour la première fois depuis dix ans, Martin Schmidt ne se trouve pas à la tête d’une équipe. «Cette dernière décennie, je me trouvais tous les jours ou presque sur un terrain de football. Alors forcément, ça me manque énormément.»
Remercié par Mayence au terme du dernier exercice, le Haut-Valaisan ne prend pas cette inédite expérience comme un échec. «Après mon licenciement, je suis parti en vacances. J’ai pu me reposer et recharger mes batteries.» Les jours de congé ne se sont pas éternisées pour ...