Il ne l’avait pas vue venir avec cette ampleur. «Quand vous donnez une gifle à une armoire à glace qui vous dépasse de deux têtes, forcément, le retour est sacrément douloureux». La petite phrase vient d’un UDC valaisan qui avait avalisé la stratégie de la création d’Ensemble à droite, mais qui reconnaît aujourd’hui, comme Oskar Freysinger, que le parti s’est attaqué à plus fort que lui. «On passe pour des méchants, mais la capacité de mobilisation du PDC montre que ce sont eux les superméchants. Ils sont redoutables. On n’a en tout cas jamais, chez no...
Réservé aux abonnés