Il sourit : «J’étais un cancre en allemand et j’ai dû m’y remettre il y a une année pour mon travail.» Gilles Félix a 55 ans. Depuis une dizaine d’années, ce Valaisan est ingénieur des ventes chez Siemens industrie. La langue de Goethe a toujours été son point faible dans l’entreprise. En 2017, avec l’arrivée d’un nouveau chef, il n’a plus le choix. « La maison mère est à Zurich, tous les mails et les téléphones se font en allemand »,...
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En Valais, les cours d'allemand ont davantage la cote que les cours d'anglais
Depuis 2014, l’apprentissage de l’allemand progresse en Valais. Il détrône l’anglais dans la plupart des écoles de langues du canton. Pour beaucoup, ce choix est devenu une nécessité pour être performant sur le marché du travail.

L'élève Gilles Félix et son professeur d'allemand Suzanne Jacquot.
Héloïse Maret
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