Les générations se succèdent mais les weekends ne se ressemblent pas. La fièvre du samedi soir commençant dans un bar et se terminant en boîte avec bien plus de style que Travolta n’est plus aussi évidente qu’auparavant. Entre Sierre et Sion, les discothèques ne sont plus légions. Dernier événement en date, la destruction annoncée pour cet automne de l’ancien bâtiment du Brasilia qui a longtemps été au cœur des nuits de la capitale.
Un phénomène qui semble dépasser le cadre régional
Sur les réseaux sociaux, l’annonce a réjoui certains alors que pour d’autres elle constitue un nouveau signe d’un malaise dans le monde de la nuit. La vie nocturne serait-t-elle en train de mourir dans la région? Le phénomène dépasse en tout cas de loin ce territoire. Londres, cité très réputée pour sa vie nocturne, a perdu près de la moitié de ses clubs en 10 ans selon un sujet réalisé par "BBC Newsbeat".
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