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Diamant valaisan pour montres de luxe

Le fabricant neuchâtelois Ulysse Nardin confie la fabrication de certaines pièces en silicium ou en diamant à Sigatec S.A.

13 nov. 2010, 05:01

La montre mécanique avait failli disparaître lors de la grande crise horlogère des années septante et quatre-vingt. On ne jurait plus que par le quartz. Tant et si bien que le nombre de mouvements mécaniques fabriqués avait chuté de 74 à 4 millions. Le retour des jours meilleurs dans le secteur a coïncidé avec celui de la montre mécanique automatique. Le manufacturier neuchâtelois Ulysse Nardin allait se positionner comme l'un des acteurs principaux de ce renouveau. «Pas avec les procédés de grand-papa, mais en cherchant constamment à innover, à utiliser les techniques du troisième millénaire», précise Pierre Gygax, directeur opérationnel d'Ulysse Nardin.

Silicium

Les ingénieurs et concepteurs des Montagnes neuchâteloises dessinent de nouveaux mouvements, imaginent de nouvelles complications. «Nous ne maitrisions pas certaines contraintes de fabrication à l'interne. Par exemple, notre échappement dual direct qui nous paraissait révolutionnaire ne marchait pas à cause d'un poids trop élevé. Les chercheurs de...

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