Le cinéaste établi à Sion est le seul Romand à figurer dans la liste des cinq nommés de la catégorie meilleur documentaire. Son film, «Dirty Gold War», explore le milieu très fermé de la filière de l’or: il dresse le portrait des principaux opérateurs miniers et des victimes de l’exploitation aurifère.
Le cinéaste poursuit ainsi sa quête d’un documentaire engagé au service de causes sociales.
Son film
Avec «Dirty Gold War», Daniel Schweizer a voulu «poser des questions sur les responsabilités dans la filière de l’or», et notamment de la place de la Suisse dans cet univers trouble. «Mon film a u...