Christian Constantin atteint l'âge de raison. Les signes extérieurs de cette évolution se multiplient. La fragilité nouvelle de son genou gauche qui l'a contraint à une opération n'est pas le seul. La ligne de conduite adoptée pour amorcer le redressement du FC Sion parti en vrille durant l'automne fournit plusieurs exemples. Il confie les clés techniques du club à Charly Roessli et à Maurizio Jacobacci. Les spéculations avançaient des noms bien plus prestigieux pour succéder à Alberto Bigon. Pas de Courbis, ni de Trappatoni. Constantin tire les enseignements d'un passé récent qui l'a amené à se séparer prématurément de deux entraîneurs dont la richesse du curriculum avait sérieusement émoussé la motivation. La collaboration précédente avec Roessli donne des garanties, sa passion aussi. Le technicien valaisan avait réalisé un travail de grande qualité au printemps 2003. Les péripéties administratives du club, deux assemblées générales en trois mois, l'avaient privé de reconnaissance...
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