"Aujourd'hui, il y a tout un matos de surveillance, il ne faut jamais oublier les caméras. Le terrain envahi et la baston sous l'oeil de la caméra, ça n'est rien, en comparaison du bordel qu'on met à l'extérieur, ailleurs, loin. Les vrais allumés font leur truc à des kilomètres du stade, dans une station de métro ou une ruelle, et pas juste derrière le goal, avec un téléobjectif pour les montrer en gros plan" .
A l'image de Tom Johnson, hooligan fictif sorti de la plume de J...