Sinsemilia Vendredi et Gaëtan Roussel samedi, le Tohu-Bohu a décidé de viser haut pour sa sixième édition. «Nous essayons de toucher un public qui va de 18 à 60 ans» explique Lionel Martin, directeur du festival.
Ce week-end, Veyras va vivre deux jours de concerts de qualité, avec des têtes d'affiche reconnues, des groupes valaisans pertinents (Charlotte Parfois, Colorblind, Edit Presents, Edenway, Eight days a week, Arco Iris), des Romands prometteurs (The Awkwards, Aloan) et des découvertes pour titiller les tympans (the Heavy, Watcha Clan, My hearts belongs to Cecilia Winter). Une alchimie parfaite et qui a fait ses preuves. C'est que le Tohu-Bohu est une affaire qui roule. Depuis sa première édition, le festival n'a cessé de croître. Son budget, de 150000 francs pour son premier volet s'est envolé aujourd'hui à 450 000 francs. Au départ, l'idée est toute simple: «l'association des jeunes de Veyras organisait des concertsdans son...