Un lac aux eaux miroirs, des herbes vertes, des arbres enchanteurs qui caressent le ciel: à Electrozîles, le cadre est écrin et poésie. Parce qu’il appelle les yeux à regarder et l’âme à contempler. Et aussi parce qu’il accueille, avec douceur, ses apparents opposés dans une synergie qui fonctionne. Ces beats, ceux de la techno, bruts, saccadés, qui, dans un mouvement surprenant, ne viennent en rien casser le voyage ensorcelant construit par la nature. Dès vendredi, Electrozîles revient au domaine des Iles de Sion et, durant deux jours, ni l’électricité ni les clubbers ne risquent d’être statiques.
Un vendredi dur et dynamique
Le périple musical 2019 du festival commencera avec une soirée estampillée Drumcode. Ce monstre de label suédois a été fondé par un non moindre monstre de la techno, le DJ et producteur Adam Beyer. Nicole Moudaber, Sam Paganini, Len Faki et Amelie Lens, stars du genre, y ont...