Yves Allegro respecte la tradition. Qui veut qu'avant de s'envoler pour des contrées plus chaudes, en fin d'année, il passe saluer ses proches à Grône. Il était en Valais la semaine passée, quelques jours avant de prendre la direction de Barcelone où il a retrouvé son coach, Juan Barcelo. Ensuite, il retrouvera Roger Federer, Severin Lüthi et Pierre Paganini à Dubaï. «Je reprendrai la compétition à Chennaï avant d'enchaîner Auckland et l'Open d'Australie.»
Que vous inspire votre saison?Le bilan est mitigé. Soyons honnêtes! C'était une saison moyenne. J'avais commencé l'année au côté du Suédois Lindstedt. Il s'est blessé. J'ai finalement côtoyé une quinzaine de partenaires, ce qui n'a rien d'idéal. Cela étant, je suis malgré tout très proche de la 50e place mondiale. C'est l'élément positif.
Pourquoi n'arrivez-vous pas à vous fixer avec un joueur sur une longue période?Les vingt premiers mondiaux restent entre eux. Il est très...