Certains se retranchent dans leur coin trois jours avant pour gérer au mieux leur stress. D’autres se murent dans le silence bien plus tôt encore. Et puis il y a lui. Pat Burgener, 23 ans. Qui s’ouvre aux autres moins de vingt-quatre heures avant une épreuve de halfpipe. Qu’elle soit qualificative ou qu’elle compte pour une place sur le podium. Une approche qui étonne. Détonne, même. «Il n’y a pas de recette miracle dans l’approche d’un rendez-vous sportif qui mène au succès. Si elle existait, cela se saurait. Et tout le monde l’appliquerait», explique d’entrée Jérôme Nanchen, psychologue du sport.
>> À lire aussi: Snowboard: Pat Burgener, une inspiration pour de nombreux riders
Chaque individu est différent face au stress
Le rider de Crans-Montana n’hésite ainsi pas à rassembler du monde autour d’un concert dont il est l’acteur principal, guitare en mains, la veille d’une épreuve. Comme il l’a fait...