Epoustouflant. Claude Barras, c’est la star du moment. Depuis le carton de «Ma vie de Courgette» à la Quinzaine des réalisateurs de Cannes, le Valaisan est entré dans une valse à mille temps du jour au lendemain, sans nécessairement en connaître tous les pas de danse. Il les apprend sur le tas, à coups d’interviews, d’avant-premières et de sollicitations de tous les côtés. Et pourtant, dans cette nouvelle vie au rythme frénétique, l’homme reste incroyablement simple, modeste. Et disponible, même, puisque c’est à bras ouverts qu’il a accepté de se livrer au «Nouvelliste», dans un wagon entre Zurich et Bex, durant son marathon d’avant-premières du week-end dernier.
Surfer sur la vague
On l’a dit, depuis ce printemps, Claude Barras ne s’arrête pas, et son film non plus: «Ma vie de Courgette» ne cesse d’accumuler les récompenses, la dernière datant d’ailleurs d’il y a seulement deux jours – il a reçu...